il y a quelque temps je vous avais préparé un texte sur les inquiétudes que sucitaient par ici deux affaires, plutôt tristounettes concernant de bien curieuses affaires " d'abus de faiblesse "sur des personnes agées ; et puis je suis parti en stage de formation à l' Internet ! alors j'ai mis mon texte en sommeil !
et, là, avec L'Ajac du 94 à mes côtés, voilà que ça m'a repris ! donc, allez , on y va et on se le sort, cet abcès qui me reste sur l'estomac ! depuis que L'Ajac m' a envoyé ses montages avec des extraits de presse sur le sujet ! et c'est " chaud "
mais certainement que JJL-B ne va pas être d'accord.... on va bien voir
-- eh bien, c'est tout vu en effet, car le jjl-b non seulement n'est pas très satisfait mais il le dit !
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mais qu'est-ce que c'est encore que cette histoire ? Ah, ces deux sacrés lascars que sont Jules du Val d' hermone (en Chablais ) et André-Jacques (L'ajac du Quartier-floquet-bords-de-Marne) , ils ne peuvent pas nous laisser tranquilles et nous dispenser de participer à leurs états d'âme ?
Jules et L' Ajac
Jules
qui parcourt en tous sens
son val d' Hermone
l'Ajac :
le « deux-en-un » avec
André qui s'occupe de lire la presse et de faire, avec des
extraits, des « montages » pour nos cogitations … et
Jacques qui suit de très près l'actu sociale et juridique
JJL-B
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l'Ajac :
-
Hélas, non, on ne peut pas garder notre calme ! Car ce sont deux affaires – « merdiques », que nous dirions si nous étions en Chablais –, ennuyeuses et très difficiles à solutionner, semble-t-il ! Bien entendu , vu les personnages impliqués, elles ne peuvent être comparées ! Encore que, vu « l'engrenage » qui « assomme » les deux protagonistes concernés – et, faut-il le rappeler, deux amis –, on peut faire ce rapprochement ; ne serait-ce que pour comprendre ce qui leur arrive …. avec comme différence essentielle : l'un est médiatiquement suivi , pourchassé par les journalistes à l'affût ; l'autre par contre, « illustre inconnu », se démène, seul, se présentant devant les tribunaux, civil et pénal, « harcelant » même les juges comme s'il était du même niveau que « l'autre » et que les juges n'avaient rien d'autre à faire que s'occuper de sa petite affaire de discorde familiale !
Dis-leur, Jules, à nos lecteurs , que tu es d'accord avec moi pour leur en parler ….
Jules :
° mais oui, L'ajac, je vais appuyer ta démarche car, avec les « papiers que tu m'as fait suivre – avant que je vienne te rejoindre « à Paris » ( entre nous pour les chablaisiens, toute l'île de france c'est « Paris », et les franciliens, eh bien ce sont « des parisiens » et le jébo du 94, c'est « le parisien » ; voyez comme c'est simple ! Ah, provinciaux amis ne soyez pas aussi « réducteurs » : si le « grand Paris » arrive... pour l'instant, nous sommes encore sur le distingo « Paris--son pourtour--et sa grande banlieue » et les franciliens ne sont pas des « parisiens », à moins que vous ne les considériez tous comme des imbéciles, tous les mêmes à mettre dans le même sac ! ) Donc, je me suis senti bougrement « accroché » par tes « montages » sur « l'abus de faiblesse » affectant une personne âgée ! d'un côté donc, ce que tu appelles le « choc-sarko » et je te le ressors ton montage pour que nous comprenions bien, et parce que Nicolas sarkozy, c'est « un ami » – en Chablais on le soutenait comme Président, car il était bien et souvent il venait au pays pour « monter Aux Glières », honorer nos grands maquisards qui y ont laissé leur vie affrontant ces sacrés « boches » ( excusez-moi d'employer ce triste qualificatif, mais en « 44 » c'est comme ça qu'on les appelait par chez nous ; aujourd'hui, tout va bien, Allemands et Français, nous sommes amis) ; et de l'autre, c'est notre copain « le parisien » ( = jébo du 94 ), qui se trouve impliqué pour avoir voulu s'occuper de sa chère tante qui avait quitté Lyon, où elle avait passé sa vie d'adulte pour venir prendre sa retraite, par chez nous, mais à la ville, au bord du lac et qui se trouvait un peu seule quand fut venue l'heure de la vieillesse souffreteuse ! Mais le désastre survint, quand il eut bien lancé tout son travail d'organisation d'un « assistanat familial en famille » comme il disait ( et ça des grandes phrases comme ça, ça ne plait pas, mais pas du tout, et c'est ce qui nous fait dire que c'est encore des « phrases de parisiens ) ; il avait même ajouté à l'égard d'un de ses cousins, Féfé , qu'il le gardait « comme correspon-dant de proximité » ! non, mais, je rigole, vous voyez par ici ce grand dadais de Féfé à qui il fallait dire « mossieur le correspondant de proximité de Mme la comtesse de Vuatapan », car figurez-vous que c'est comme ça que certains d'entre nous, par ici, l'avaient surnommée, la tante, car c'etait de grands numéros de « bêcheuse » qu'elle nous faisait quand elle revenait au pays voir sa mère , ne saluant personne, marchant droit comme un piquet ! Bref l'allure d'une « aristo » qu'elle se donnait! Du coup rien de plus normal qu'on ait pu l'affubler d'un pareil titre avec référence à un petit hameau de Vailly, du nom de Ouatapan ! Mais laissons et « revenons à nos moutons » !
L'Ajac :
-
oui, c'est ça , Jules, restons sérieux , car le sujet l'est ! Et tu as raison de parler de sarko comme tu l'as fait! Moi, ce n'est pas mon homme politique préféré maisil a eu le mérite de « faire bouger les lignes » comme l'on dit ! et avec sa compagne et « quelle belle femme »! ce n'est pas à nous que cela arriverait de de pouvoir se faire accompagner dans la vie par un … mannequin ! « Enfin », selon ton expression favorite, « revenons à notre souci ! Il est accusé Sarko d'avoir abusé de la faiblesse de Liliane ! Mais ça reste à démontrer ! Un juge s'en occupe ! Si « on » le laisse faire, bien évidemment ! Car les « pressions » arrivent, elles aussi ! Mais, que veux-tu , mon cher Jules, il faut que « Justice soit rendue »!
et c'est la même chose pour notre ami jébo du 94, s'il a fait une « ânerie », il devra être sanctionné !là également « Justice doit être rendue » ! mais je lui fais confiance, malin comme il est, il va s'en sortir, et il réussira sans aucun doute à démontrer qu'il a été l'objet de malveillance à son encontre ! Et mieux s'il peut prouver qu'il a été calomnié aklors il est « sauvé » ( « des eaux du Léman » ! ah, quel « bon mot », ne trouves-tu pas ? En tout cas il vaut bien ceux de vos voisins suisses-vaudois d'en face de votre pays thononais !)
ah ce chablais, et dire qu'on l'aime ! Et cette vallée du Brevon avec tout en haut cette accueillante commune de Bellevaux ! Et ce val d'Hermone, lui, c'est notre chouchou !
Et comme nous sommes en juin et que les gens nvont aller en vacances , c'est le moment de leur montrer à nouveau où se trouve votre Chablais, pas vrai mon Julot ?
Regard donc sur la région, ton « pays » : et appel aux vacanciers de juin ....
alors les futurs touristes de l'été ?
vous la voyez cette belle contrée : « la vallée du brevon et le val d'hermone », au-dessus de Thonon, et en face de Lausanne de l'autre côté du Léman ; belle contée franco-suisse ( ou hélvético-française ):
Jules:
-
stop, L'ajac, on n'est pas en train de parler « tourisme estival » ! ne divague pas ! Reviens, veux-tu , à notre conversation immédiate ; plutôt que les affiches touristiques,je te ressors tes montages avec des extraits de presse! Et, là, ce n'est plus aussi rigolot ! Ce serait plutôt triste, et bien triste ! Affligeant même ! Car dans les deux cas -- "la Liliane" avec N. Sarkozy ; la tante avec ce sacré parisien de jébo --, on a affaire à des gens de bonne foi, qui se sont laissé « avoir » par des gens mal intentionnés, qui avaient tout intérêt à leur « baver dessus » ! Nicolas, c'était tout de même son droit de copiner avec"la Liliane" et de lui faire des visites chez elle ! Mais pas pour aller lui soutirer de l'argent ! Quant à jébo, il l'adorait sa tante et elle aussi qui le considérait comme son fils ! Ils s'entendaient très bien, depuis Lyon, où Jebo était venu faire « ses études supérieures » ( et ses blagues d'étudiant , que la tante adorait , car c'était une « rieuse » ; elle tenait ça de son père, « le Jérôme de chez Jacquin », qui était le roi des farceurs ) ; et alors quoi de plus normal qu'il « descende de Paris », dès qu'elle eut besoin de lui et qu'il l'aide à organiser sa fin de vie en tenant compte de ses souhaits ! De ses « dernières volontés » que je vais plutôt dire , car elle va mourir quelque temps après !
voir ci-après
quelques fiches que tu m'as envoyées
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petit retour en arrière : en avril dernier, à la réception des "montages" préparés par son copain "de Paris" :
affolé du coup, notre Jules n'avait pas manqué de contacter L'ajac du 94 et de s'entretenir avec lui des répercussions graves que cette affaire allait occasionner !
Voici leur échange épistolaire :
« Sarko-choc » le « 1er avril » 2013, Jules rédacteur de blog, s'interrogeait déjà :
notre ex- président a été mis en examen pour « ABUS DE FAIBLESSE » sur Mme Bettancourt ! Mais quelle horreur !
Et de rapporter à son copain du 94 les commentaires qu'il entend sur place, là-haut dans la vallée, les palabres au café et sans oublier les commérages sur le marché ...celui-ci par exemple :
° Il a osé faire ça, le vilain, le monstre !,
se sont alors écrié nos 2 commères du Val d'hermone
( vous vous souvenez d'elles; on en avait parlé à l'époque
des fenaisons, l'été dernier )
la Guiguite et la Joséfa, les 2 gourgandines qui, là, en ce printemps 2013, s'en vont « racler », au râteau, les feuilles tombées des arbres qui bordent le petit pré de leurs biquettes ...
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mais qu'est-ce que ça veut dire ça , abus de faiblesse, dit Joséfa, d'une naïveté à faire peur !
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oh, mais c'est simple, lui répond sa compère Guiguite, c'est quand on chatouille quelqu'un pour bien le faire rire et ensuite on tape dans son porte-monnaie , on lui pique toutes ses économies !
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mais alors c'est ce qu'a fait notre monstre du 94 ? en piquant les économies de sa tante Lolotte et en vidant son compte d'épargne ?
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eh bien voilà, t'as tout deviné ! Il l'a complètement dépouillée la tante Lolotte
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et il est parti avec les sous ? Le monstre !
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ça, on ne le sait pas, l'enquête ne l'a pas révélé!
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mais il va faire de la tôle ? s' exclame alors la Josefa au comble de la joie!
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ça se pourrait bien ! lui susurre alors la Guiguite, prenant son air sentencieux d'institutrice ! Et ce sera pareil pour Sarko, quand il sera démontré qu'il a reçu de l'argent , sans doute beaucoup d'argent – oh, non, tu crois ça , toi, ne peut s'empêcher de s'exclaffer la Josefa, qui était sarkoziste du temps de la splendeur du Président – ,il n' a pas pu faire ça ! Je sais que sa femme, la bestelle d'italienne, elle dépense tout, mais tout de même , on connait la grande honnêteté de notre président ! Ce n'est pas comme ce conno de Fanfoué-la-ollande, lui, il l'aurait fait ça ; car tu sais, il a peut-être pas de Carita à ses basques, mais des maîtresses il va en avoir, c'est sûr et des dépensières , ça faut pas imaginer le contraire !
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Mais tu déconnes, ma pauvre joséfa ! Cesse donc de nous embrouiller et stop, passons à des choses plus sérieuses ! t'as vu le Jules à Léon du Sez dernièrement ? Tu lui trouves pas une drôle de tête ?il doit picoller ….
etc... c'était reparti pour les potins des villages
et voilà, c'est ainsi que cogite le rédacteur de notre blog dans la vallée du brevon, Jules du val d'hermone !
Et qui ne peut s'empêcher de dialoguer avec notre rédacteur de blog du quartier Floquet -94
donc, vous regardez le montage sur le « sarko-choc »
dans le journal « Aujourd'hui », du 12 mars....
et à nouveau, dans la presse de juin ....
et ça chauffe, donc à suivre ... JJL-B
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les montages :
au Quartier Floquet -- 94, le rédacteur du blog a préparé des notes faisant un peu une analyse de la presse et, "au pays" du Chablais ( auprès de ceux qui n' aiment pas trop, "les parisiens", surtout !) , je me démène pour contrer une bien facheuse rumeur sur la malhonnêté de jébo qui aurait "piqué" les économies de sa tante, alors qu'elle était vieille et malade !!! :
° "l'affaire" dans la presse en avril-mai dernier :
vous voyez comme l'affaire, ça devient "chaud" !
en conclusion de cette info,
que peut-on vous dire sur Jébo qui, en Chablais thononais, " se bat " contre son cousin, "ferraille" avec une avocate adverse ?
à moi, Jules , de vous redire ce qu'il en est !
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voilà un dernier texte que l'on vous a préparé , L'Ajac du 94 et moi :
Lu dans les documents produits devant le tribunal de Thonon par l'adversaire de notre Jébo :
il aurait abusé de la faiblesse de sa chère tante ! non, mais c'est pas vrai, ça ! y'en a qui ont tout de même une sacrée audace, d'oser lancer pareille accusation ! d' où méchante rumeur qui vint immédiatement entacher la parfaite honorabilité de Jébo
Rappel :Jébo a été appelé par un cousin qui, habitant la petite commune montagnarde de Vailly ( au-dessus de Thonon et de son beau lac ), s'occupait de la tante depuis une dizaine d'années, par affection pour elle; mais , se sentant fatigué, il appela Jébo « à Paris », pour qu'il s'en occupe car elle disait qu'il était son fils, elle qui n'avait pas d'enfant, restée célibataire pour mieux s'assumer dans son travail ( fonctionnaire civile des Armées , elle était devenue un « pilier » administratif à l'hôpital Desgenettes de Lyon); Jébo accepta tout de suite et, pour assurer l'assistance de sa tante à distance, il vint sur place deux mois d'été et ne cessa de courir pour mettre en place un vrai « assistanat en famille » avec la participation de tous les neveux et nièce ( il leur fit signer un « papier » pour mieux organiser l'opération ; et alors avec le cousin qui lui avait passé le boulot – et resté comme « correspondant de proximité » --, il prépara une sépulture pour le cas où...( car la tante était très fatiguée par une grosse bronchite d'été ) et, selon ses « souhaits » clairement exprimés – là encore jébo lui fit mettre sur un « papier » --, un « cadeau » en argent pour tous ses neveux et nièces , à prendre sur une partie de ses économies ; puis notre jébo, profitant de l'aubaine que constituait un dispositif de « donations totalement exonérées de prélèvement, lancé par le ministre de l' Economie d'alors, Nic. Sark., il prépara aussi en contact avec la tante, des chèques à partir de son CCP ( pour lui, il n'en fit pas, laissant sa part de côté pour le cas d'imprévu ), utilisant la procuration qu'elle lui avait signée et qu'il fit valider aussitôt par la Poste ! Tout ça, parfaitement légal et « monté » en liaison étroite et permanente avec les uns et les autres ; contact pris avec le cabinet du ministre « à Bercy », qui l'orienta vers le centre des Impôts de Thonon, lequel donna son accord ; et enfin avec la juge ( des Tutelles + tribunal d'instance )-, à qui il expliqua ce qu'il faisait et elle ne lui exprima aucun désaccord ; mais …
car il y eut un mais !
quand tout fut prêt et que, satisfait du travail accompli, Jébo revint chez lui, « à paris », son action fut attaquée par un autre cousin qui, de manière sournoise et malveillante, entreprit la démolition de ce qu'il avait fait; en allant d'abord chercher un certificat chez un simple médecin généraliste comme quoi la tante avait perdu sa tête et qu'elle devait être mise sous tutelle judiciaire immédiate ; puis il rendit visite à la juge à son bureau et, là, il dut lui faire une description des plus sombres car elle suspendit la donation en cours et bloqua les chèques signés; puis elle mit la tante sous tutelle sans appliquer la procédure spéciale avec expertise médicale et tout le reste …; et le comble, elle désigna le cousin batailleur comme administrateur légal , débarquant de ce fait Jébo qui avait pourtant été désigné par l'ensemble des neveux et nièces – seize au total avec les conjoints ets conjointes -- comme « référent », gestionnaire de l' assistanat de la tante ; fort de cette désignation, ce cousin n'eut de cesse que « le parisien » fut traîné dans la boue ( il commença par le dénigrer auprès des frères et soeur de jébo qui, lui, était rentré à Joinville et qui depuis chez lui ne vit rien venir …
4 mois après, la tante mourut, s'étant laissée « partir », car épuisée à 93 ans, mais toutefois heureuse d'avoir retrouvé à ses côtés son cher neveu de paris, pour sa fin de vie et, comme personne n'osa lui avouer ce qui venait de se produire, elle « s'en alla » satisfaite , sachant que tous ses neveux et nièces auraient leur cadeau et qu'ils viendraient à sa sépulture puis ramèneraient ses cendres près de sa maman -- qui lui fut chère toute sa vie durant --, au cimetière de Vailly, ayant demandé que l'on refit la pierre tombale qu'elle avait fait poser au décès de ses parents et payée de ses seuls deniers !
alors Jébo demanda à la juge qu'elle valide la donation et les chèques signés – elle lui répondit qu'elle ne pouvait pas le faire elle-même et qu'il devait voir avec le notaire, lequel lui dit non bien évidemment -- la magistrate ajoutant que pour le retour des cendres à Vailly, le cousin lui ayant remis un « papier » ( signé de la tante, selon lequel elle voulait que ses cendres soient dispersées au cimetière de la ville ), elle fixa la marche à suivre : saisie du trib. d'instance par voie d'huissier et cendres bloquées au funérarium en attendant); donc, Jebo, sa soeur et ses 3 frères, habitant au pays saisirent un huissier ; et, à l'audience du tribunal, jebo « descendit » de toute urgence pour soutenir sa soeur qui avait été désignée par ses frères pour les représenter devant la juge ( mais elle venait d'être « assommée » par le dossier présenté par le cousin malveillant, dossier avec tout plein de fausses déclarations et même de la calomnie ! ) ; et alors, jébo s'expliqua devant la juge ( son cousin, présent dans la salle, restant muet comme une tombe) et mit le doute, en affirmant que les documents produits ( un testament manuscrit et la déclaration sur la dispersion des cendres ) seraient des « faux » et qu'il allait enquêter pour le prouver ; la juge fit un report de l'affaire et, un mois après, jébo redescendit pour « enfoncer » le clou ; déposant au tribunal la demande de son groupe pour le retour des cendres au cimetière des parents de la tante; puis il se rendit à la gendarmerie pour amorcer le dépôt d'une plainte contre le neveu roublard et dénigreur, ainsi que contre le médecin qui avait fait cette attestation ( sans savoir vraiment qu'il y avait un assistanat familial qui fonctionnait très bien avec 2 coordinateurs , ajoutant pour Jébo qui l'interpelait au téléphone que la tante n'était pas au mieux mais qu'elle pouvait parfaitement comprendre ce qu'elle faisait ! Et, le pire, fut qu'il n'avait pas cru devoir en informer, et l' infirmière coordinatrice de la maison de retraite où séjournait la tante , et la Direction de l'établissement !
Que décida la juge ? Eh bien, elle valida les documents reçus du cousin et ordonna la dispersion de cendres au cimetière de Thonon ! elle rendit son jugement sans attendre le résultat de la plainte ! alors qu'à cette époque il y avit une régle qui voulait que "le pénal prime sur le civil"!
Et c'est ainsi que démarra le tourment énorme de Jébo, qui ne put supporter de voir les cendres de sa chère tante jetée , à Thonon, sur le monticule, sous un arbre, avec les « sans-famille » de la ville ! et , depuis lors, il bataille pour obtenir réparation des préjudices subis, suite à cette très malveillante attaque dirigée contre lui , que les jaloux appellent « le parisien » , considéré sans doute comme n'ayant plus rien à faire dans son pays d'origine ( « 'il n'a qu'à rester chez lui , à paris », a-t-on pu entendre ! )
donc voici ce que nous avons pu lire sur les documents qu'a présentés au tribunal ce cousin contestataire ; quelques extraits significatifs
° « … le comportement procédurier de … ( jébo) qui a abusé de la faiblesse de la défunte... » ( oct . 05)
° « ...il est impossible que la tante ait voulu « moderniser » la pierre tombale, car elle n'était plus capable d'exprimer librement sa volonté ... » ( 21-4-11)
° ( sur la déclaration signée par la tante avec ses souhaits ) « … alors que sa signature démontrait qu'elle n'avait déjà plus la capacité à agir, compte tenu du certificat médical ...constatant l'altération de ses facultés mentales, demandant l'ouverture d'une tutelle ... » (21-4-11)
° ( jébo) « ...ne peut faire sans cesse référence à un projet de donation, leur tante qui n'a jamais pu vouloir, à un moment de sa vie où elle n'avait plus le discernement nécessaire, partager son épargne entre tous ses neveux et nièces ... » (22-11-11)
° ( jébo ) « …a fait signer à sa tante, non seulement ses prétendues dernières volontés mais également une procuration pour la Poste à son profit, sans aucune valeur compte tenu de la vulnérabilité de ... » ( la tante ) ( 22 -11-11 )
et Lu aussi sur les lettres ,
envoyées par ce cousin à Jébo, à son domicile, plongeant son épouse dans l'affliction : des accusations dures , difficiles à supporter en effet …
une, surtout, dans une note accusant Jébo, envoyée à sa soeur et ses frères + la juge d'instance ( datée du 18-11-05 ) :
° « … nous nous permettons de de vous communiquer copie d'une correspondance de .. (jébo)destinée à F.T. lui réclamant en urgence de virer sur son compte bancaire personnel la totalité du livret B de Mme ...( la tante ) , dont F.T. était détenteur de la procuration depuis plusieurs années déjà ( à cette époque le montant était d'environ 40 000 e ) ... »
° « … comment prétendre soi-disant à tant d'affection envers sa tante, alors qu'avant son décès on se préoccupe avec tant d'acharnement de son argent ? ...et pourquoi sur un compte personnel ? ... »
° ( sur la procuration signée par la tante au nom de jébo ) « … elle ne pouvait malheureusement plus écrire, ayant perdu ses facultés mentales depuis plusieurs mois déjà; le docteur de l'établissement ayant constaté cet état de fait, et établi 2 certificats médicaux ( 1 en juin, puis le 2è en oct.)en vue de l'ouverture d'une tutelle ... »
et, enfin, cette autre apostrophe, le 19 janv. 2009 :
« ...trop, c'est trop ! Je dis stop au harcèlement ! … c'est du grand délire !... avec, non pas un dossier, mais un fouillis sans suite, désordonné, incompréhensible …!
pour ta demande de médiation , adresse-toi à ceux qui sont allés te chercher et avec qui tu as élaboré ce sinistre et odieux processus , que je suis très fier d'avoir fait capoter ...
tout contact entre nous est rompu et systématiquement je refuserai ton courrier ... »
voilà qui est « superbe » ! et ce ne serait pas de la calomnie, tout ça ? provenant , pourquoi ne pas le souligner, d'un neveu coléreux, borné, jaloux , teigneux ! lui qui, sans hésitation aucune, remettra à la juge 2 documents, qu'ensuite jébo fera expertiser par deux experts en écriture , ne se connaissant pas, l'un à Besançon, le second à Grenoble , tous deux relevant que ces documents étaient des FAUX !!! donc à suivre ….
l' Ajac et Jules ,
qui ont pitié de ce pauvre Jébo pris dans la nasse et qui en souffre énormément, de cette accusation d'abus de faiblesse, sans doute comme Nic. Sark., qui avait lancé ce système de donation spéciale qu'utilisa jébo, après un contact pris avec le cab du ministre pour être certain de ne pas faire de boulette ; et cela avait marché puisque le chef de cab le renvoya « aux Impôts » de Thonon, où on lui remit les imprimés à remplir pour bénéficier de l'exo de tout prélèvement et que, mise au courant, la juge ( tutelles + instance ) n'avait rien trouvé à redire !
Alors? Eh bien, comme pour Nic. Sark. avec « sa Liliane », nous attendrons la suite judiciaire pour « le parisien » et sa tante !
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NB :
-- mais, dis-nous encore une chose , jules :
puisque jébo avait "suivi" les consignes du ministre Sarko de ne pas laisser "dormir" les épargnes et mis en route pour sa tante à ses neveux et nièces une "DONATION-TYPE-SARKOZY", pourquoi il n'a pas pensé écrire à Nic. Sar. devenu Président de la République ?
-- mais, L'ajac, c'est une bonne remarque, eh bien il l'a fait : il lui a écrit au Chef de l' Etat mais ... hélas son chef de Cab' lui a répondu : "non" ! tiens, regarde :
et la réponse :
alors ? jébo s'est mis à RUMINER , à MOULINER, à FAIRE DES NOTES ET DES NOTES aux juges, qu'il a fini par indisposer !
d'où vlan ! un beau matin le voilà avec sa binette de travers ! et du coup, fini le recrutement pour devenir " proxijuge" , et à Thonon, qu'il avait demandé :
il écrivit alors à la ministre Rachida Dati , qui avait ordonné une "enquête" suite à sa demande
et ce fut l'abandon, dans la désespérance de son grand projet d'accéder à ce job qu'il prenait déjà , notre jébo, pour une vraie "mission" ( "proxijuge- citoyen au service de la justice " qu'il se disait !)
OUF ! on va s'arrêter car ce n'est pas drôle du tout cette affaire !
on vous lâche donc , en vous disant : refermez vite cette page tristounette !
et bonne chance aux 2 "accusés " , Nic. Sark. et notre Jébo
L' Ajac du quartier Floquet et moi, Jules du Val d'Hermone